Clément Ingénieur développeur
téïcée

Clément

Ingénieur développeur

Membre de la téïcée team depuis 2017.

Clément est ingénieur en informatique, diplômé, comme Philippe et Aurélien B de l’ENSI de Caen. Clément travaille sur les développements de nos applications les plus complexes. Il a notamment œuvré avec succès sur l’application que téïcée a mise en place pour la FNMJ. Il manipule et s’adapte à tous les langages, outils ou framework du moment. Clément intervient en développement web, rédaction de documents de spécifications, de conceptions ou cahiers de recettes. Clément œuvre aussi en l’architecture logicielle, transfert de compétences, maintenance corrective ou évolutive. A téïcée Clément est également chef de projet et c’est lui le patron. Récemment finisheur du marathon de Paris, il ne compte pas s’arrêter là et dans son travail c’est avec autant de détermination qu’il mène les projets à terme et ce pour le plus grand plaisir des clients de téïcée.

Clément s’est prêté au jeu du questionnaire de Bernard Pivot, lui-même inspiré du questionnaire de Proust.
Questionnaire également repris par James Lipton dans Inside the Actors Studio.

votre mot préféré ?
Bonjour, c’est de bonne augure!
Le mot que vous détestez ?
Adieu, ce n’est pas de bonne augure!
Votre drogue favorite ?
Le sport, le plus intense possible, dans la limite du raisonnable.
Le son, le bruit que vous aimez
Le bruit du décapsuleur après le sport.
Le son, le bruit que vous détestez ?
Le bruit de la fourchette dans une assiette vide ! Personne ne devrait avoir faim de la sorte.
Votre juron, gros mot ou blasphème favori ?
Non de dieu ! (souvent suivi de « c’est pas possiiiiible »)
Homme ou femme pour illustrer un nouveau billet de banque ?
Zinédine Zidane, c’est aussi ça l’histoire !
Le métier que vous n’auriez pas aimé faire ?
Assureur
La plante, l’arbre ou l’animal dans lequel vous aimeriez être réincarné ?
Un lion, l’un des seuls qui ne peut pas se faire manger, et qui n’est pas encore en voie d’extinction. Encore que…
si Dieu existe, qu’aimeriez-vous, après votre mort, l’entendre vous dire ?
La place est chaude, je te la laisse !